Candy Ming

Nota Bene :

Voici quelques extraits de contes et de nouvelles que j’ai rédigé à différentes périodes de ma vie.

Ils sont extraits de divers ouvrages dont certains sont en vente sur internet.

 

Déferlente

img-deferlente

« […]

Un grand merci à vous tous

vous qui n’avez eu point la frousse

de donner un peu de votre frimousse

pour que le film puisse rebondir parmi les secousse.

Presque une année au bout du nez. Déferlente le court-métrage prend de l’âge…

Grâce à votre coeur qui s’éveille dans une coulée de bohneur,

le film existe vraiment avec tout ce temps…

Les mots ne sont pas aussi beaux que votre contribution, votre motivation.

[…] »

img-deferlente

« […]

Un grand merci à vous tous vous qui n’avez eu point la frousse de donner un peu de votre frimousse pour que le film puisse rebondir parmi les secousse. Presque une année au bout du nez. Déferlente le court-métrage prend de l’âge… Grâce à votre coeur qui s’éveille dans une coulée de bohneur, le film existe vraiment avec tout ce temps… Les mots ne sont pas aussi beaux que votre contribution, votre motivation. […] »

L'Arche de Miss Ming

Crocodile

« […]

— Effectivement, j’arpente lentement le fond des océans en fouillant le sédiment, dit le concombre de mer.

— Eh dis donc, tu mesures entre dix et vingt centimètres de long », calcule Candy.

Un crabe traverse les étoiles telle une comète et sautille à l’aide de ses pinces :

« Décapode Brachyura aux 6 800 espèces, je suis une constellation dans l’univers. J’en pince pour vous : c’est pour ça que je suis là ! »

D’autres animaux paraissent pour faire la fête, Phoenicopterus Roseus, le flamant rose, et un crocodile qui vagit en marche triomphante :

17 – L’Arche de Miss Ming

   « Ah! les crocs coco, les crocs coco, les crocodiles sur le bord du nil, ils sont partis. N’en parlons plus ! » s’égosille Crocodylinae.


Un dragonnet, bondit grâce à un courant d’eau qui chemine parmi l’assemblée :


« Callionymidés, je suis une sorte poisson d’eau de mer. Voici mon ami dragon des mers, qui a le pouvoir de nous faire vivre dans une bulle pour que nous les animaux marins soyons libres de nous promener. »


La famille Ming et leurs amis explorent maintenant les bois équatoriaux magiques et riches en biodiversité.


La pluie tombe.


Heureusement que la famille Ming a des parapluies arc-en-ciel.


Un escargot Gastropoda, content de ce temps, chantonne :


« Petit escargot, porte sur son dos sa maisonnette. Aussitôt qu’il pleut il est tout heureux. Il sort sa tête. »


La lune sourit et des étoiles illuminent le ciel. Une étoile de mer jaillit
parmi ces belles lumières :


« Brille, brille, petite étoile, je me demande qui tu es. »
Des coassements se font entendre dans la forêt tropicale.

[…] »

Crocodile

« […]

— Effectivement, j’arpente lentement le fond des océans en fouillant le sédiment, dit le concombre de mer.
— Eh dis donc, tu mesures entre dix et vingt centimètres de long », calcule Candy. Un crabe traverse les étoiles telle une comète et sautille à l’aide de ses pinces : « Décapode Brachyura aux 6 800 espèces, je suis une constellation dans l’univers. J’en pince pour vous : c’est pour ça que je suis là ! » D’autres animaux paraissent pour faire la fête, Phoenicopterus Roseus, le flamant rose, et un crocodile qui vagit en marche triomphante : 17 – L’Arche de Miss Ming    « Ah! les crocs coco, les crocs coco, les crocodiles sur le bord du nil, ils sont partis. N’en parlons plus ! » s’égosille Crocodylinae. Un dragonnet, bondit grâce à un courant d’eau qui chemine parmi l’assemblée : « Callionymidés, je suis une sorte poisson d’eau de mer. Voici mon ami dragon des mers, qui a le pouvoir de nous faire vivre dans une bulle pour que nous les animaux marins soyons libres de nous promener. » La famille Ming et leurs amis explorent maintenant les bois équatoriaux magiques et riches en biodiversité. La pluie tombe. Heureusement que la famille Ming a des parapluies arc-en-ciel. Un escargot Gastropoda, content de ce temps, chantonne : « Petit escargot, porte sur son dos sa maisonnette. Aussitôt qu’il pleut il est tout heureux. Il sort sa tête. » La lune sourit et des étoiles illuminent le ciel. Une étoile de mer jaillit parmi ces belles lumières : « Brille, brille, petite étoile, je me demande qui tu es. » Des coassements se font entendre dans la forêt tropicale. […] »

Le coup de coeur de Miss Ming

Collage-Visages-Villages« […]

Et toi, Agnès, le bonheur, tu l’esquisses de la pointe courte de réponses de femmes à l’amour sur Les Plages d’Agnès.

Des mur murs, Elsa la rose s’épanouit du côté de la côte. Dans la rue Daguerre… , l’amour sonne, ô saisons, ô châteaux, l’univers de Jacques Demy.
 
Deux ans après, les Black Panthers à la rencontre des daguer- réotypes, avaient leurs visages, villages, emplis de coquelicots comme sèment les glaneurs et la glaneuse.
 
Passées par là, quelques veuves de Noirmoutier reflètent lesdites cariatides.
 
En fait, les demoiselles ont eu 25 ans, c’est qu’elles ont vécu un plaisir d’amour en Iran, c’étaient pour elles comme le fameux voyage d’Ulysse.
 
Tout le monde les admire, les fiancés du pont Mac Donald, elles clament à toute la foule : « Méfiez-vous des lunettes noires, du lion volatil qui vous dit : “T’as de beaux escaliers, tu sais.” ».
 
L’ainée de ses femmes, interprète solennellement, l’Opéra- Mouffe pour conter son histoire d’une vieille dame devant ton oncle Yanco, un documenteur.
 
Lui, il la voit comme la cocotte d’azur, Nausicaa.
«Tu es là, une minute pour une image, dans L’Île et Elle, dans
Les Cabanes d’Agnès.
 
Tu sais, il n’y a pas que la mer, les Bouches-du-Rhône sont le trait d’union entre la vie d’une poétesse, d’une cinéaste, d’une plasticienne.
 
Entre elles, l’une chante, l’autre pas. »
 
Ces bribes d’histoires des Cent et Une Nuits de Simon Cinéma sonnent le cri de tes Lions Love.
 
Et quand je pense à Jane B. et à Jacquot de Nantes, chère Agnès, ils vivent sans toit ni loi, loin du Vietnam, loin du kung-fu master, loin des créatures, d’Ydessa, les ours etc …
 

[…] »

Collage-Visages-Villages

« […]

Et toi, Agnès, le bonheur, tu l’esquisses de la pointe courte de réponses de femmes à l’amour sur Les Plages d’Agnès.
Des mur murs, Elsa la rose s’épanouit du côté de la côte. Dans la rue Daguerre… , l’amour sonne, ô saisons, ô châteaux, l’univers de Jacques Demy.
Deux ans après, les Black Panthers à la rencontre des daguer- réotypes, avaient leurs visages, villages, emplis de coquelicots comme sèment les glaneurs et la glaneuse.
Passées par là, quelques veuves de Noirmoutier reflètent lesdites cariatides.
En fait, les demoiselles ont eu 25 ans, c’est qu’elles ont vécu un plaisir d’amour en Iran, c’étaient pour elles comme le fameux voyage d’Ulysse.
Tout le monde les admire, les fiancés du pont Mac Donald, elles clament à toute la foule : « Méfiez-vous des lunettes noires, du lion volatil qui vous dit : “T’as de beaux escaliers, tu sais.” ».
L’ainée de ses femmes, interprète solennellement, l’Opéra- Mouffe pour conter son histoire d’une vieille dame devant ton oncle Yanco, un documenteur.
Lui, il la voit comme la cocotte d’azur, Nausicaa.
«Tu es là, une minute pour une image, dans L’Île et Elle, dans
Les Cabanes d’Agnès.
Tu sais, il n’y a pas que la mer, les Bouches-du-Rhône sont le trait d’union entre la vie d’une poétesse, d’une cinéaste, d’une plasticienne.
Entre elles, l’une chante, l’autre pas. »
Ces bribes d’histoires des Cent et Une Nuits de Simon Cinéma sonnent le cri de tes Lions Love.
Et quand je pense à Jane B. et à Jacquot de Nantes, chère Agnès, ils vivent sans toit ni loi, loin du Vietnam, loin du kung-fu master, loin des créatures, d’Ydessa, les ours etc …
[…] »
Tout le monde les admire, les fiancés du pont Mac Donald, elles clament à toute la foule : « Méfiez-vous des lunettes noires, du lion volatil qui vous dit : “T’as de beaux escaliers, tu sais.” ».
 
L’ainée de ses femmes, interprète solennellement, l’Opéra- Mouffe pour conter son histoire d’une vieille dame devant ton oncle Yanco, un documenteur.
 
Lui, il la voit comme la cocotte d’azur, Nausicaa.
«Tu es là, une minute pour une image, dans L’Île et Elle, dans
Les Cabanes d’Agnès.
 
Tu sais, il n’y a pas que la mer, les Bouches-du-Rhône sont le trait d’union entre la vie d’une poétesse, d’une cinéaste, d’une plasticienne.
 
Entre elles, l’une chante, l’autre pas. »
 
Ces bribes d’histoires des Cent et Une Nuits de Simon Cinéma sonnent le cri de tes Lions Love.
 
Et quand je pense à Jane B. et à Jacquot de Nantes, chère Agnès, ils vivent sans toit ni loi, loin du Vietnam, loin du kung-fu master, loin des créatures, d’Ydessa, les ours etc …
 

[…] »

La désencyclopédie du groland

« […]

(…) Babille le Gromo Salengrobilis. Le Gromo Salengrobilis a vécu deux millions d’années et a découvert les quatre éléments. Son cerveau est d’environ 1000 centimètres cubes.
 
Le Gromo Salengrorectus a créé le premier véhicule grolandais qui pouvait se déplacer sur la terre, dans les airs, sur la mer et sous la mer. Ainsi, c’est lui qui a découvert l’étendue du Groland et a décidé de le peupler avec ses gênes.
 
Le Gronéandertal a été découvert à notre époque. Il mesure 3,20 m avec un crâne de 3 600 cm3. Il est proche du Grolandais moderne, mais en plus intellectuel.
 
L’ABRI GROLANDAIS
 
Le Grolandais préhistorique se faufile partout. Les galeries souterraines sont plus nombreuses que les abris posés au sol. La nuit, le Grolandais préhistorique aime se suspendre pour favoriser sa circulation sanguine – en raison de son régime alimentaire.
 

Au grocheuléen (−200 000), le Grolandais préhistorique aime être au nord. Les parois de leurs abris sont décorées de toutes les couleurs. À cette époque, ils pratiquent déjà l’art de la peinture et l’architecture …



« […]

(…) Babille le Gromo Salengrobilis. Le Gromo Salengrobilis a vécu deux millions d’années et a découvert les quatre éléments. Son cerveau est d’environ 1000 centimètres cubes.
Le Gromo Salengrorectus a créé le premier véhicule grolandais qui pouvait se déplacer sur la terre, dans les airs, sur la mer et sous la mer. Ainsi, c’est lui qui a découvert l’étendue du Groland et a décidé de le peupler avec ses gênes.
Le Gronéandertal a été découvert à notre époque. Il mesure 3,20 m avec un crâne de 3 600 cm3. Il est proche du Grolandais moderne, mais en plus intellectuel.
L’ABRI GROLANDAIS
Le Grolandais préhistorique se faufile partout. Les galeries souterraines sont plus nombreuses que les abris posés au sol. La nuit, le Grolandais préhistorique aime se suspendre pour favoriser sa circulation sanguine – en raison de son régime alimentaire.
Au grocheuléen (−200 000), le Grolandais préhistorique aime être au nord. Les parois de leurs abris sont décorées de toutes les couleurs. À cette époque, ils pratiquent déjà l’art de la peinture et l’architecture …